Running : trois façons de travailler ses points faibles
Rapide, mais peu endurant ou vice-versa ? Chaque coureur a des points forts et des points faibles. Pour progresser, faut-il s’acharner à travailler ses lacunes ? Oui, mais pas n’importe comment ni n’importe quand. « Je pense que c’est une erreur de passer plus de temps à travailler ses points faibles qu’à développer ses points forts. À l’inverse, c’est aussi une bêtise de ne pas du tout les travailler, ou bien d’y consacrer seulement quelques minutes à la fin d’une séance », résume Axel Vaguenez, entraîneur de demi-fond à l’EFCVO Franconville. Si bon nombre de coureurs réguliers parviennent à travailler régulièrement leur endurance et leur vitesse, une bonne partie continue d’évoluer avec des points faibles comme une foulée peu efficiente ou une résistance musculaire limitée. 1/ Points faibles : ajouter une séance d’entraînement par semaine La première façon de travailler ses points faibles est d’y consacrer une séance à part entière. Mais comme le souligne l’entraîneur, il ne faut pas non plus délaisser les qualités principales…

